À la suite de l’article de Poirot-Delpech sur « L’Idéologie française » de BHL, « Le Monde » publie une lettre du philosophe en guise de réponse.
« L’idéologie française » a brisé le tabou sur le fascisme à la française, le pétainisme et ses disciples. Une scission dans le monde intellectuel que l’on peut toujours vérifier.
Et s’il était temps, enfin, de regarder aussi chez nous, à nos portes, dans nos mémoires, pour tenter de rendre compte de cette infamie discrète ou parfois brusquement explosive qui, de loin en loin, nous rappelle à la réalité ? Bref, la matrice de ce que Bernard-Henri Lévy appelle – en construisant son concept et en déduisant ses figures – le fascisme aux couleurs de la France.
Dans « L’Idéologie française », Lévy par à la recherche, en France même, de la souche d’une certaine sensibilité totalitaire.
Échange de lettres entre BHL et Jean-François Mattéi, à propos de l’humanitaire, de son histoire, et de la misère sociale en France.
Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
Europe, gilets jaunes, climat… : Bernard-Henri Lévy dresse le portrait sans concession de notre époque. Avec verve et théâtralité.
En février 1981, en pleine bataille sur « L’Idéologie Française », Raymond Aron interpelle BHL dans « L’Express », qui lui répond.
Raymond Aron a lu « L’Idéologie française », et attaque le livre de BHL qui fait le procès du pétainisme et de la Révolution nationale.
Pour Jorge Semprun, « L’Idéologie française » de BHL analyse un présent incertain, inquiétant, et mériterait une véritable discussion.
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